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                              Something’s gotta give 
                               
                               
                              
                               
                              
                              © Warner Bros. France
                              
                              
                                
                              
                              De notre correspondant Grégory Pierre
                              
                              
                                
                              
                              
                              Traduction littérale : ça doit cesser ! Traduction 
                              pour le marché français : tout peut arriver ! Sans 
                              commentaires… 
                              
                              
                                
                              
                              
                              2004 commence bien. Après « Lost in translation », 
                              « 21 Grams » et « Le fils de la mariée », on 
                              croyait avoir eu notre lot de chefs d’œuvres 
                              pendant un petit moment. Et puis on voit ça. Que 
                              dire de cette petite merveille sinon que c’est 
                              très drôle, et bien mené ? Eh bien première chose, 
                              on a l’impression que les comédies sentimentales 
                              ne sont regardables que si elles ont été faites 
                              par des femmes. Après Sofia Coppola, 
                              Nancy Meyers est la deuxième réalisatrice à 
                              nous pondre une comédie sentimentale regardable, 
                              alors que ce n’était pas arrivé depuis « Ce que 
                              veulent les femmes » (entre parenthèses, de la 
                              même Nancy Meyers). Elle passe donc maître du 
                              genre, en évitant les clichés tout en restant 
                              populaire.  
                              
                              
                                
                              
                              
                              On rit d’abord du culot de Jack Nicholson 
                              dans certaines scènes, de Diane Keaton nue, 
                              du comique de situation (tout peut arriver), et de 
                              la surprise finale, quand Jack raconte ce qu’il a 
                              fait pendant six mois (Suis-je bête où je n’avais 
                              rien vu venir ???). Jack et Diane, monstres sacrés 
                              et vivants, réunis comme une évidence dans ces 
                              rôles qui semblent être écrits pour eux. D’autre 
                              part, c’est réellement une joie de voir Keanu 
                              Reeves sans manteau noir et souriant… Bref, à 
                              consommer sans appréhension…  
                              
                              
                                
                              Actuellement au Pathé 
                               
 
                              
                              
                              
                               
                              
                               
                              
                               
                              
                              
                              
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